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Från Psalmer och Andliga Sånger
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Lors du calcul, votre comptable devra faire des ajustements pour enlever les éléments exceptionnels et "normaliser" le BAIIA. Le multiple de EBITDA est l’indicateur le plus souvent utilisé pour justifier la valeur de son entreprise. Ce multiple se calcule en divisant la valeur de l’entreprise obtenue par l’indicateur financier. Les analystes préfèrent utiliser des données historiques, variant entre 3 et 5 ans de performance financière.
Les banques, les évaluatrices et évaluateurs ainsi que d’autres intervenantes et intervenants modifient parfois la formule du BAIIA pour arriver à un BAIIA rajusté (aussi appelé BAIIA normalisé). Il existe diverses formules pour le BAIIA rajusté, selon la méthode utilisée. On peut les trouver à la fois dans le coût des produits vendus/coût des ventes et dans les frais d’exploitation.
Par exemple, une PME qui doit vendre puisqu’elle fait faillite ne sera pas évaluée de la même manière qu’une autre qui continue son exploitation. Plusieurs propriétaires d’entreprise prévoient quitter leur entreprise dans un avenir proche (ce qui pourrait représenter plus de 40 pour cent des entrepreneurs canadiens selon une récente étude1). L’évaluation de la valeur nette de leur entreprise est une étape primordiale. Ainsi, pour les propriétaires qui planifient leur retraite ou qui ont l’intention de vendre leur entreprise pour avoir une source de revenus supplémentaire ou toute autre situation , il est important d’établir la valeur nette de celle-ci.
Mme Stewart note que ce contexte impitoyable s’est adouci au cours de la dernière année. « L’activité de fusions/acquisitions s’est nettement intensifiée et les acheteurs rechignent moins à y mettre le prix si la transaction est stratégique. » Les résultats préliminaires de Dealogic révèlent une hausse notable de 13 % des opérations à travers le monde, et les propriétaires qui ont eu la sagesse de ne pas vendre en 2008 vont aujourd’hui de l’avant. La méthode des multiples est appuyée sur ce calcul un peu simpliste du rendement attendu qu’un acquéreur/investisseur voudrait logiquement faire en achetant des actions de votre entreprise. Ce qui est bon pour les autres doit aussi être valable pour vous !
Mais après la débâcle de fin 2008 et de 2009, les acheteurs se sont considérablement raréfiés. Mais il n’y a pas que les profits futurs qui entrent dans le calcul de la valorisation de l’entreprise, il y a aussi la valeur du bilan. Et pour faire cela rapidement, on n’étudie pas le bilan de long en large, on ajoute simplement la valeur de l’argent libre de dettes. Ainsi on additionne les soldes des comptes de banque, znvaluation.ca des recevables courts termes et on soustrait de cette somme l’ensemble des dettes. Un peu grossier comme calcul de la valeur du bilan, mais pour beaucoup de petites et moyennes entreprise, cette méthode est tout à fait valable.