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Från Psalmer och Andliga Sånger
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Rappelez-vous que vous êtes le gardien des biens de la succession, que ce n’est pas votre propre véhicule et que cet argent vous sera nécessaire dans le cadre de la liquidation de la succession. Une fois ces personnes identifiées, il faut communiquer avec elles. La loi ne prévoit pas de façon particulière de procéder.
Les sommes dues au conjoint marié ou uni civilement en raison de la fin du mariage et de l’union civile (rappelons que le décès met fin au mariage et à l’union civile). Les dettes de la personne décédée (donc les créanciers). N’oubliez pas de faire signer à votre acheteur un document confirmant que la vente a eu lieu, znvaluation.ca avec ses coordonnées et le prix. Ce document est à conserver dans les dossiers de la succession.
La totalité des biens de la société n'est pas suffisante, d'après une juste estimation, pour permettre l'acquittement de toutes ses obligations (c.-à-d. que même si la disposition de tous les biens était faite, la somme qui en serait tirée ne serait pas suffisante pour acquitter toutes ses obligations échues ou à échoir). Une société est en faillite en vertu de la LFI si elle a fait une cession en faillite ou si une ordonnance de faillite a été rendue contre elle. Si le certificat de dissolution a été émis, le certificat d'intention de dissolution ne peut être révoqué.
] «un taux d'intérêt variant en fonction des bénéfices» ni «une quote‑part des bénéfices» (à la p. 212). En d'autres termes, https://znvaluation.ca/fr/auteurs/vente-dune-entreprise le prêt en question n'en était pas un auquel s'appliquait l'art. Les intimés devant notre Cour adoptent un point de vue semblable sur cette question. Bref, je suis d'accord avec la conclusion du juge Harradence qu'aucune des ententes en cause dans les arrêts sur lesquels s'est fondé le juge Wachowich ne prévoyait explicitement le remboursement des avances consenties et que ce facteur a joué un rôle décisif dans les conclusions tirées à cet égard. Je conviens également que les modalités explicites de remboursement énoncées dans l'entente de participation établissent clairement une distinction entre la présente affaire et celles où on a appliqué la règle de common law invoquée par le juge Wachowich. On comprend facilement pourquoi cette divergence d'opinions devrait exister.
3d) de la Loi sur les sociétés en nom collectif paraît viser des prêts semblables à ceux dont il est question dans l'arrêt Sukloff c. Rushforth, précité, znvaluation.ca savoir les prêts où le créancier consent une avance au débiteur à la condition d'être remboursé avec intérêts et de recevoir une quote‑part des bénéfices en sus du remboursement du capital jusqu'à l'acquittement complet de la créance, comparativement aux prêts où, comme en l'espèce, la quote‑part des bénéfices ne sert qu'au remboursement du capital. 3d) s'appliquait aux prêts qui n'étaient assortis d'aucune limite quant au montant à verser au créancier sur les bénéfices de l'entreprise du débiteur ou dont la limite n'était pas reliée au capital emprunté. ] Il importe de reconnaître que, même si le remboursement devait être effectué sur le revenu avant impôts de la B.C.C., il n'existait aucun lien direct entre le succès de la B.C.C. et le montant global dû ou payable aux participants du groupe de soutien.