Commotions Cà rà brales Dans Le Sport: Un Protocole RecommandÃ

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Le deuxième objectif est de parvenir à un accord au sein du panel d’experts sur l’élaboration d’une déclaration de consensus sur les commotions cérébrales dans le sport. La déclaration s’appuiera sur les faits présentés par les experts et les chercheurs du monde entier sur les commotions cérébrales dans le sport. Ce document sera ensuite utilisé par les professionnels de la santé qui participent à la prise en charge des athlètes blessés de niveaux récréatif, élite ou professionnel. Les neuropsychologues jouent un rôle déterminant dans l’évaluation et la gestion des commotions cérébrales. À la suite d’une commotion, le neuropsychologue évaluera l’intégrité des fonctions mentales de l’athlète. Les résultats de cette évaluation contribueront non seulement au diagnostic de la commotion cérébrale, mais ils seront aussi essentiels pour guider l’athlète vers un retour au jeu sécuritaire.
En 2017, Sport Canada a également fait une présentation dans le cadre de la Conférence du Conseil des ministres de l’Éducation sur le travail de gestion accompli en matière de commotions cérébrales dans le sport. Le Sous‑comité s’est fait dire qu’une loi semblable à la Loi Rowan devrait être mise en œuvre à l’échelle du Canada. M. Stringer a mentionné au Sous‑comité que l’Ontario a créé un modèle pour les autres administrations.
Grâce à ces recherches, Volleyball Canada a récemment modifié les règles de manière à ce que cet exercice ne prévoit plus de courir sous le filet. En outre, des témoins ont soulevé des préoccupations quant aux risques associés à l’ajout d’équipement de protection. Hunter de Rugby Canada a mis les membres du Sous‑comité en garde contre la possibilité que les « joueurs tendance à le manipuler et à s'en servir plutôt comme une arme». Sandhya Mylabathula, candidate au doctorat à l’Université de Toronto qui mène des recherches sur les commotions cérébrales, a parlé de l’« effet de gladiateur », qui peut amener les athlètes qui portent de l’équipement de protection à avoir l’impression que les autres joueurs et eux sont invincibles, dexters construction dans une certaine mesure. Selon elle, « es sportifs portent beaucoup d'équipement, bien sûr, mais ils peuvent quand même subir une commotion.
Est-ce que leurs protocoles respectent le nouveau Consensus sur les commotions cérébrales dans un milieu sportif ? S’ils n’ont pas de procédures ou protocoles en place, encouragez la direction de l’association de créer un comité médical pour permettre une gestion adéquate des blessures de vos enfants! Un travail d’équipe avec une approche multidisciplinaire permettra d’offrir un encadrement optimal pour vos enfants.
Une commotion cérébrale peut être une blessure invisible, si bien qu’il est possible d’ignorer ou de cacher ses symptômes. Or, on prend cependant de plus en plus conscience de la gravité des commotions cérébrales. D’abord, notons que dans le milieu médical, la commotion cérébrale est aussi appelée « traumatisme craniocérébral». Bien que les connaissances et les consensus au sujet des commotions cérébrales soient en constante évolution, voici une définition formulée par le groupe de travail du Centre collaborateur de l’Organisation mondiale de la santé . Les athlètes qui reprennent leurs activités avant de s’être remis d’une commotion cérébrale sont plus susceptibles de subir une deuxième commotion avec des symptômes encore plus sévères.